Gabon: une femme nommée ministre de la Défense
Source: Digital Congo
Dix-sept jours seulement après sa formation, le nouveau gouvernement gabonais, dirigé par le Premier ministre Julien Nkoghe Békalé, a fait le lundi 28 janvier passé l’objet d’un réaménagement.
A l’issue de ce changement qui en surpris plus d’un, trois ministre ont quitté l’exécutif et ont été remplacés. Le limogeage le plus marquant reste celui d’Etienne Massard Makaga Kabinda, remplacé à la tête de la Défense par Rose Christiane Ossouka Raponda, maire de Libreville depuis cinq ans.
Proche de Patience Dabany, la mère du président Ali Bongo Ondimba, Ossouka Raponda n’est pas une novice dans les fonctions gouvernementales. En effet, avant de devenir la première femme élue maire de la capitale gabonaise, elle avait intégré le gouvernement à l’arrivée d’Ali Bongo au pouvoir, à la tête du très convoité ministère du Budget et des comptes publics.
Quant à son prédécesseur, bras droit d’Ali Bongo que ce dernier a toujours nommé à des postes stratégiques, il paierait les conséquences du coup d’Etat avorté du 7 janvier dernier, selon certains observateurs.
Le président Ali Bongo poursuit actuellement sa convalescence au Maroc, où il est retourné après avoir présidé la prestation de serment du nouveau gouvernement peu après sa formation.
Source: Afriquefemme.com.
Dix-sept jours seulement après sa formation, le nouveau gouvernement gabonais, dirigé par le Premier ministre Julien Nkoghe Békalé, a fait le lundi 28 janvier passé l’objet d’un réaménagement.
A l’issue de ce changement qui en surpris plus d’un, trois ministre ont quitté l’exécutif et ont été remplacés. Le limogeage le plus marquant reste celui d’Etienne Massard Makaga Kabinda, remplacé à la tête de la Défense par Rose Christiane Ossouka Raponda, maire de Libreville depuis cinq ans.
Proche de Patience Dabany, la mère du président Ali Bongo Ondimba, Ossouka Raponda n’est pas une novice dans les fonctions gouvernementales. En effet, avant de devenir la première femme élue maire de la capitale gabonaise, elle avait intégré le gouvernement à l’arrivée d’Ali Bongo au pouvoir, à la tête du très convoité ministère du Budget et des comptes publics.
Quant à son prédécesseur, bras droit d’Ali Bongo que ce dernier a toujours nommé à des postes stratégiques, il paierait les conséquences du coup d’Etat avorté du 7 janvier dernier, selon certains observateurs.
Le président Ali Bongo poursuit actuellement sa convalescence au Maroc, où il est retourné après avoir présidé la prestation de serment du nouveau gouvernement peu après sa formation.
Source: Afriquefemme.com.